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Rien que du soporifique. Un discours au soleil duquel foisonnent encore des promesses stériles et des engagements au goût de déjà dit et affectés de sénilité. Un personnage terne aux paroles aphones, à la gestuelle dictée et aux mimiques fades de leur inassurance que rien n’emballe car présentement sont encore là les enregistrements d’avril 2012. Ce lugubre personnage, erreur fatale d’errements politiques en son temps, nous est imposé par un hasard ubuesque que le Sénégal n’aurait jamais eu à vivre de ses dires et engagements non encore tenus ni réalisés.
Un discours au goût de remake où le non-sens et le contre-sens déterminent une carence dans le texte controversé et dans les projections stériles en ce que des projets inopportuns, gouffres à milliards incommensurables par leur impertinence, des programmes aux allures de gâteaux complexés servis aux intérêts des français, les grands manitous affirmés et imposés à notre pauvre pays livré à l’appétit dun président français en mal de popularité et qui espère redorer son blason intérieur en offrant notre patrimoine à la vindicte des gilets jaunes pour mieux refaire sa politique intérieure.
Un serment qui laisse perplexe les maux gangrénant une justice à deux vitesses où emprisonnements arbitraires, jugements partisans, élections dont l’issue déjà scellée où l’arbitre s’impose juge et partisan représentent notre pain quotidien.
Un serment violant la légitimité d’un pacte que n’engage un président français africain que pour ses propres intérêts.
Une fanfaronnade aux salves d’enterrement où un plan d’émergence hypothéquant l’héritage des futures générations recoupe d’autres promesses et d’autres engagements déjà entonnés en avril 2012.
Un discours vide et tympanisant où l’expression saugrenue, la pertinence acerbe, le ton fade et l’allure inélégante nous donne à penser que ce quinquennat, pareil au terrible septennat dont nous émergeons abattus par une vie chère, pantois par des scandales liés aux ressources énergétiques et très déçus par une gouvernance où tatonnenemts, errements et inexpérience brillent de leur insipide présence. Un discours mortuaire.
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