Le texte réprimant la consultation habituelle de sites jihadistes censuré une nouvelle fois par le Conseil constitutionnel

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L’article sanctionnait de «deux ans de prison et de 30 000 euros d’amende le fait de consulter de manière habituelle, sans motif légitime, un service de communication au public en ligne faisant l’apologie ou provoquant à la commission d’actes de terrorisme et comportant des images ou représentations d’atteintes volontaires à la vie».

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