L’ancien joueur des Black Stars du Ghana, Kevin Prince Boateng, a révélé qu’il regrettait certains de ses actes posés dans le passé. Selon le footballeur international, il n’a jamais pris sa carrière de football au sérieux. Boateng a déclaré qu’il était toujours la dernière personne à arriver sur le terrain pour s’entraîner, mais le premier à partir, indiquant qu’il était fier et pompeux. Il aurait fait cette révélation lors d’une interview avec le journal La Repubblica. Boateng a également déclaré qu’il avait dépensé énormément au point d’acheter trois voitures chères et puissantes en une journée. Il a également conseillé aux jeunes en disant que le bonheur ne pouvait pas être acheté. “Quand j’étais à Tottenham, j’ai acheté trois voitures en une journée: une Lamborghini, une Hummer et une Cadillac. Aux jeunes, je leur dis: “Vous ne pouvez pas acheter le bonheur”, a déclaré Boateng. “Je dirai que je n’ai pas pris le football comme un travail. J’étais un idiot. J’avais du talent, mais je me suis entraîné au strict minimum, une heure sur le terrain. J’étais le dernier à arriver et le premier à partir. J’étais avec des amis. ” “J’avais de l’argent, je vivais comme un roi. Je ne suis jamais allé au gymnase. Cela change votre carrière future”, a-t-il souligné. “Je ne jouais pas, j’avais des problèmes familiaux, j’étais en dehors de l’équipe. Je cherchais le bonheur dans les choses matérielles: une voiture vous rend heureux pendant une semaine. J’en ai acheté trois pour être heureux pendant trois semaines », a-t-il ajouté. Boateng a disputé deux Coupes du monde avec le Ghana en 2010 et 2014. Il a remporté cinq trophées au cours de sa carrière, dont la Coupe de la Ligue à Tottenham et le titre de La Liga avec Barcelone la saison dernière. Boateng était dans les actualités récemment après l’annonce de la sortie de son deuxième single, chanson accompagnée d’une vidéo classique que beaucoup ont loué sur les réseaux sociaux.

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Le mal est profond et pernicieux. Entre juin et juillet, une importante quantité de cocaïne a été saisie au Sénégal, plus précisément au port de Dakar, mais cela ne signifie nullement, prévient le quotidien Source A, que notre pays sera, désormais, à l’abri des narcotrafiquants qui vont jusqu’à régenter, parfois, les choix politiques chez certains de nos voisins.

Car selon Thomas M. Harrigan, chef des opérations de la Drug enforcement administration (Dea), l’Agence américaine de lutte contre la drogue, les saisies actuelles réussies au Sénégal, en Guinée-Bissau, au Cap-Vert ou en Côte d’Ivoire, soit une dizaine de tonnes, ne constituent même pas 1% de la drogue qui doit transiter par l’Afrique de l’Ouest ».

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