LA CHRONIQUE DU JOUR : Qui pour diriger le Sénégal

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Face à l’obsolescence politique, quelle alternative ?

La politique, l’on a coutume de la définir, c’est l’art de gérer la cité.

Quelle cité ? Qui mérite de gérer la cité ? Les anciens barons, les barons actuels ou les barons qui sont entrain d’émerger ?

Une multitude d’interrogations qui nécessite une réflexion sous plusieurs angles. 
La cité c’est l’espace vital et sacré où ceux qui aspirent à la diriger doivent être de très bonnes qualités tant intellectuelles, morales que comportementales.
Les anciens barons comme on les appelle nous ont fait sombrer dans un chaos structurel qui a ralenti nos aspirations à devenir un Pays développé. 40ans de socialisme dégradant basée sur un mimétisme désolant de nos institutions. Abdou Diouf pendant les élections de 1999 avait fait savoir qu’il ne savait pas que la pauvreté s’était installée au Sénégal.
Abdoulaye Wade je n’en parle pas car malgré ses bonnes volontés à bâtir un Sénégal meilleur a été victime d’un entourage gourmand aux allures des charognards face à un cadavre.
Et les barons actuels ? Ils n’ont fait que 6 ans au pouvoir et le Sénégal est sombré profondément dans le grand gouffre du sous-développement. Que l’on nous chante pas l’émergence si l’on sait que l’indice de développement humain du Sénégal nous place dans la catégorie des pays sous développés.
En toute chose nécessite un sang neuf. Aujourd’hui les pôles qui se sont constitués dans le paysage politique obligent à tout un chacun à ouvrir les yeux et à regarder l’avenir du Sénégal. Il y’a actuellement de nouveaux leaders qui peuvent des lendemains meilleurs. Et le Professeur Issa Sall est l’un de ces ténors si ce n’est le meilleur.
Faut-il rester dans l’obscurité obscure de ces prometteurs électoraux ou bien même faut-il aller vers un changement prometteur avec des hommes sûrs comme Issa Sall du PUR ( Parti de l’Unité et du Rassemblement ) ? Le PUR un parti qui prône l’unité nationale et le rassemblement des citoyens autour des Valeurs sûres. Faites vos choix ?

Khalifa Ababacar Ndiaye, Chargé de Formation et de l’éducation au PUR

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