Avis de grande tempête sur la «la racaille» : le CAP décidé à venir à bout des «faux journalistes», squatteurs d’hôtels

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Cela fait des années que ça dure et rien n’est fait pour arrêter la signée. Chaque jour, ils squattent les hôtels de la capitale et certains lieux d’évènements où la presse est invitée pour la couverture. On ne maîtrise pas pour quel organe travaillent-ils réellement, on e voient pas ce qu’ils produisent. La majorité ne sont mêmes pas en mesure de s’exprimer en français. Mais ils se disent journalistes. C’est ce groupe d’infiltrés dans le milieu de journalisme,  on  les appelle «la racaille» ou les «rats d’hôtels».

Le problème n’est pas leur présence dans les événements en tant que tel mais leur comportement malsain consistant à exiger que leur soient donné des perdiems par des organisateurs d’événement qu’ils menacent, tancent durement. Un comportement qui  a  terni dangereusement l’image des journalistes.

Cela fait des années que ça dure et rien n’est fait pour arrêter la signée. Chaque jour, ils squattent les hôtels de la capitale et certains lieux d’évènement où la presse est invitée pour la couverture. On ne maîtrise pas pour quel organe travaillent-ils réellement, on e voient pas ce qu’ils produisent. La majorité ne sont mêmes pas en mesure de s’exprimer en français. Mais ils se disent journalistes. C’est ce groupe d’infiltrés dans le milieu de journalisme,  on  les appelle «la racaille» ou les «rats d’hôtels».

Le problème n’est pas leur présence dans les événements en tant que tel mais leur comportement malsain consistant à exiger que leur soient donné des perdiems par des organisateurs d’événement qu’ils menacent, tancent durement. Un comportement qui  a  terni dangereusement l’image des journalistes. Chasseurs de primes et de perdiems, on les voit jamais aller faire un reportage sur un tas d’immondice, aller couvrir l’échec d’une baleine sur la plage, bref partout où ils ne sont pas sûr d’avoir des perdiems, ils n’y vont pas. Ou plutôt s’ils vont c’est pour alpaguer des personnalités. C’est pourquoi les hôtels et les restau sont leurs cibles principales

Depuis des années ça s’ébruitent, ça se murmure dans les coulisses, dans les salons, mais personne n’a osé prendre ses responsabilités. Les organisations de presse (le Synpics, le Cored, la Convention des jeunes reporters, le tout chapeauté par la CAP) sont restées presque impuissantes face au phénomène. Ou plutôt n’ont presque rien fait.

C’est dans ce contexte qu’un groupe de journalistes a décidé de prendre le taureau par les cornes. Massaer Dia, journaliste à Direct Info et membre du Syncpic avec ses amis, ont lancé le Collectif pour assainir la presse. L’objectif est d’en finir définitivement avec ces « rats d’hôtel ». Mais comment ? Dans cet entretien avec SeneNews, Massaer Dia, membre du CAP, explique d’où est partie l’idée, quelle est la stratégie du CAP, quelles ont été les réactions d’une part des organisations de presse et d’autres part  ces « faux journalistes» qui déjà gagnés par la peur s’agitent dans tous les sens. Suivez  les explications dans cette vidéo.

Depuis des années ça s’ébruitent, ça se murmure dans les coulisses, dans les salons, mais personne n’a osé prendre ses responsabilités. Les organisations de presse (le Synpics, le Cored, la Convention des jeunes reporters, le tout chapeauté par la CAP) sont restées presque impuissantes face au phénomène. Ou plutôt n’ont presque rien fait.

C’est dans ce contexte qu’un groupe de journalistes a décidé de prendre le taureau par les cornes. Massaer Dia, journaliste à Direct Info et membre du Syncpic avec ses amis, ont lancé le Collectif pour assainir la presse. L’objectif est d’en finir définitivement avec ces « rats d’hôtel ». Mais comment ?

Dans cet entretien avec SeneNews, Massaer Dia, membre du CAP, explique d’où est partie l’idée, quelle est la stratégie du CAP, quelles ont été les réactions d’une part des organisations de presse et d’autres part  ces « faux journalistes» qui déjà gagnés par la peur s’agitent dans tous les sens. Suivez  les explications dans cette vidéo.

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