« Nous avons décidé, ente toute responsable, de prélever quelques seaux de ces eaux usées et de les déverser devant les bureaux des autorités pour qu’elles ressentent ce que nous supportons dans le campus social », a expliqué Mamadou Amadou Ndiaye, le porte)-parole de la Coordonnassions des Étudiants (CESL) de l’Université Gaston Berger à nos confrères de Ndarinfo.
La CESL signale avoir entamé, auparavant, une série de négociations d’alerte depuis le mois de janvier. Dans ce cadre, elle a rencontré les autorités internes dont le recteur, les DG de la SONES et de l’ONAS, l’amnesty international et les familles religieuses.
