Les responsables de Flynas parlent de retard et non de report. Déplorant le manque d’information, les voyageurs, qui ont en mémoire l’édition 2017 du pèlerinage où plusieurs fidèles, qui s’étaient pourtant acquittés des frais, n’ont jamais foulé le sol du premier lieu saint de l’Islam, interpellent les autorités pour qu’une solution soit trouvée dans les plus brefs délais.
Quant aux responsables de l’Aéroport international Blaise Diagne (Aibd), ils dégagent toute responsabilité dans cette affaire.
